En considérant l'interdiction d'intérêt étant en vigueur dans le christianisme, dans le Moyen âge il était admis seulement aux juifs d'effectuer les subventions de crédit sous forme d'argent. Même pour eux il existait une interdiction d'intérêt, toutefois limité aux membres de la Communauté religieuse. Les princes médiévaux ont fait usage de cette exception activement et ont financés leurs coûts de cour et guerres avec les crédits. Le remboursement effectué avec les entrées fiscales et de conquêtes territoriales.

En outre la messe à disposition des semences pour les agriculteurs de la part des créanciers était habituelle et ces crédits furent remboursés avec des parties des récoltes postérieures.

Des commerçants voyageurs recevaient déjà dans le moyen âge contre le dépôt d'argent prés d'un banquier les lettres de crédit, avec lesquelles ils retiraient une partie de l'argent déposé pendant le voyage en montrant les lettres de crédit. De cette manière il fut diminué le danger d'être des volé. Cela est devenu possible par les relations familières étroites des premiers banquiers.

Fin 17. Siècle l'interdiction d'intérêt pour des chrétiens fut retiré officiellement. La banque, comme nous la connaissons aujourd'hui toutefois, est née déjà précédemment pour nécessité du commerce maritime, surtout dans les villes commerçantes Venise, Gênes, Hambourg, Amsterdam et Londres.

Un rapport réciproque étroit de confiance entre les banques a déjà toujours eu une importance particulière, puisqu'il n'était pas possible maintenir partout des succursales. Des relations de ce type existent encore aujourd'hui dans le système de correspondance des banques.